Dans sa dernière création, « Kirina », présentée au festival Ruhr Triennale, le chorégraphe burkinabé Serge Aimé Coulibaly prend pour point de départ un important événement de l’histoire de l’empire mandingue et se livre à une réflexion sur le mouvement des peuples. Dans le magazine, il est aussi question de démocratie et de l’anniversaire des attentats du 11 septembre 2001.